J’ai pas pu m’en empêcher ; près de 60 fautes en l’espace de onze lignes, ça piquait trop les yeux :
"Salut, Alain. Moi, c’est Anthony Attal. Tu sais, le responsable de la LDJ.
J’étais même passé te faire un coucou à la rue Vieille-du-Temple,
mais tu te cachais dans la cage d’escalier. Tu vois de quoi je parle...
Je viens de voir la vidéo de Valls. Ouh là là, il est fâché.
Il va t’en mettre une belle, de... Comment vous appelez ça, déjà ?
Une quenelle, c’est ça ? Lol.
Allez, salut, bouffon. Et n’oublie pas, Israël est là pour l’éternité.
Vous avez raté votre chance en 40. Aujourd’hui, va falloir s’habituer à nous voir au-dessus de vous !
Am Israel hai !"
À part la majuscule, je veux bien lui accorder le bénéfice du doute quant à l’orthographe de cette langue dont il doit être bien plus familier. Il apparaît en tout cas évident qu’il ne peut pas moins la maîtriser que la nôtre.