Une hypocrisie sans nom ou l’art de doubler les branches du symbole emblématique de la qualité de la motorisation allemande, tout en lui subtilisant son âme.
Nul doute, je préfère l’élégance minimaliste de l’étoile originelle, à la lourdeur et à la vulgarité de sa vilaine destinée abâtardie.
Mercedes doit beaucoup au régime hitlérien, ainsi qu’aux nombreux prisonniers de guerre ; c’est factuel, à croire que la mémoire leur fait complètement défaut...
Mais ces gens là n’ont toujours pas compris que plus Hitler est diabolisé, plus il est attaqué, et plus son charisme et son magnétisme post mortem opèrent ; à celui qui en douterait, il suffit tout simplement de naviguer ça et là sur internet, ou de comptabiliser le nombre d’exemplaires de Mein Kampf vendus à l’année dans le monde entier.