Aujourd’hui, nos "amis" nous méprisent et nous oppriment, quand nos ennemis nous font peur. De sorte que l’on n’agit plus que pour ne pas déplaire aux atlantistes, donc pour leur plaire, et on ne se comporte plus qu’en tant que suppléant mal payé des politiques des USA .
Ainsi, lorsque le vice-président américain vient en FRANCE, c’est pour féliciter les français de leur intervention au MALI, pour mieux nous encourager davantage à la soumission stérile .
L’indépendance, ça commence d’abord dans les têtes, puis on élabore une stratégie politique pour la renforcer, et on -c’est-à-dire l’élite au pouvoir- la met en œuvre en veillant à y préparer l’opinion afin qu’elle la soutienne .
Actuellement nos élites dirigeantes sont payées par l’atlantisme -aliénation extérieure- et ont assimilé l’idée que l’indépendance était une lubie passéiste pour pétainistes-aliénation intérieure- , alors que PETAIN était pour la collaboration . Aujourd’hui ce sont nos chefs qui sont pour la collaboration atlantiste, et même pas pour adoucir en attendant le sort du peuple, mais simplement parce qu’ils pensent que c’est ce qu’il faut faire et que l’on ne peut pas faire autrement . Ainsi, l’avenir de la FRANCE, de la politique, et de son histoire : c’est de ne pas pouvoir faire autrement ; et d’ailleurs constatent-ils, pour les autres peuples et pays c’est pareil puisqu’ils pensent la même chose !!
Normal dans ces conditions que de tenir des propos tels que les miens, amène à apparaître réactionnaire, voire xénophobe, voire raciste ; c’est à mon sens dans cet esprit qu’une jeune humoriste ancienne avocate répondait à DUPONT-AIGNAN lors de l’émission SALUT LES TERRIENS ,samedi dernier, en lui disant qu’elle avait l’impression" d’entendre son grand-père", et pourquoi devrait-on pour être moderne et progressiste nécessairement mépriser les opinions politiques de son grand-père ?,génération qui a dû assurer la reconstruction du pays après la guerre .
Une fois de plus, le recours viendra du peuple et pas des élites, sauf lorsqu’elles sont du peuple, c’est-à-dire qu’elles travaillent pour lui .
A voir aussi : C DANS L’AIR sur la cinquième, émission d’hier-le 02.07.2013-, consacrée à l’affaire SNOWDEN, et au cours de laquelle des intervenants spécialistes du renseignement expliquent que lorsque des britanniques deviennent fonctionnaires européens, ils continuent de défendre leur pays ; alors que lorsque ce sont des français, "ils oublient qu’ils sont français" .