Non monsieur, vous êtes responsable de vos actes tout comme vos maitres.
Je me demande si vous auriez écrit les mêmes mots si vous aviez fait acte de bravoure au combat pour avoir sauvé un des votres pour qu’il puisse tuer d’autres innocents, et aviez été décoré puis promu à un poste mieux payé et où vous auriez été moins exposé aux balles de kalachnikov.
Les regrets sont toujours ressentis après coup.
A quoi servira votre suicide ? Je ne vous compterai même pas parmi les victimes de cette sale guerre.
Vous avez éte dupe, peut-être, mais vous n’y cedez point par cette naïve tentative de faire se sentir coupables d’une mort, à venir, des diables qui ne verseront pas une larme pour des millions de vies déjà gachées.
Donnez l’exemple en vous engageant dans le véritable combat, celui de résister, serait-ce de votre fauteuil, à la tyranie et de dénonce les votres.
Désolé, mais je ne vous pleurerai pas.
Richard Robin fils d’Altier.