Un réseau roumano-israélien de trafic d’ovocytes démantelé
20 février 2013 22:34, par Brigitte
Pour prévenir ces dérives à l’origine il faudrait éduquer les jeunes filles pour qu’elles agissent en connaissance de cause comme c’est le droit de tout individu sujet à une intervention médicale, afin qu’elles soient conscientes des conséquences de leur acte de don :
Qu’en acceptant de faire don de leurs ovules elles alimentent ce trafic, qu’elles sont des mères désincarnées pour ainsi dire et que les enfants qu’elle ne connaîtront jamais auront malgré tout un lien psychique avec elles et que ces enfants, où qu’ils soient, partiront à leur recherche jusqu’à ce qu’ils les trouvent ;
Que la somme dérisoire qui est payée aux donneuses permet aux médecins de s’enrichir fabuleusement en factuant leurs riches clients cent fois plus.
Que bien souvent ceux qui font les prélèvements prennent tous les ovules ou presque et la femme atteint la ménopause avant l’âge de 30 ans.
Ces ovules de donneuse inconnue créeront chez l’enfant à naître une quête sans fin. On a bien vu que rien n’arrête une personne à la recherche de ses origines. Il n’y a aucune mission plus importante dans la vie que de les connaître. Alors pourquoi imposer cette souffrance à un être humain quand on prétend donner la vie par amour ? C’est consternant.