"Radi-Aid", l’Afrique au secours de la Norvège
24 décembre 2012 10:00, par Grindsel Tirédunevi
La plus grande vertu surnaturelle théologale est la charité. La preuve de la charité est l’observation des commandements de Dieu (7ème commandement : tu ne volera point) et l’exercice des œuvres de miséricordes (les bonnes œuvres d’un chrétien).
Œuvres de miséricorde corporelles : -donner à manger à ceux qui ont faim -donner à boire à ceux qui ont soif -vêtir ceux qui sont nus -abriter les étrangers -visiter les malades -visiter les prisonniers -ensevelir les morts ; œuvres de miséricorde spirituelles : -conseiller ceux qui en ont besoin -instruire les ignorants -reprendre ceux qui pêchent -consoler les affligés -pardonner les offenses -supporter patiemment les personnes désagréables -prier Dieu pour les vivants et les morts.
Elles doivent se pratiquer discrètement (lorsque vous faites l’aumône, que votre main gauche ne sache pas ce que fait votre main droite), avec le soucis de plaire à Dieu, qui nous a tous crée, et parce que nous sommes tous interdépendants, mais jamais dans le but de s’auto-satisfaire ou de flatter son ego. Une vertu pratiquée sans les dispositions spirituelles qui vont avec (humilité) sont nulles et damnent.