Ce film permet bien de comprendre qu’il y a une continuité entre le crime organisé classique, puis les mafias affairistes, puis les capitalisme "classique", la profonde unité qu’il y a en fin de compte entre tout ça. "Le crime organisé est le stade suprème du capitalisme" disait Jean Ziegler. Bref référez-vous au chapitre du livre d’Alain Soral intitulé "les mafias de cinéma" et les autres ...
Même Marx n’avait pas poussé aussi loin le dévoilement, maintenant c’est fait, manque un grand idéologue pour en faire un gros livre bien documenté, et avec toutes les analyses, politiques, psychologiques, sociales, idéologiques.