Les dirigeants occidentaux retombent en enfance
14 août 2012 18:21, par Jasmin IndienLa propagande est à la base ce qui doit être propagé. Le slogan n’est pas une nouveauté ni une spécificité occidentale. Rappelons-nous les harangues du bestiaire communiste. N’oublions pas que l’Eglise utilise ces mêmes articulations : congrégations, relais, arguments. Dieu à grand coup de pontificat dans le cul avec retours monétaires sur incantations.
Nous sommes bombardés par des méthodes de pressions multiples qui prennent naissance dans la psychologie et la métaphysique. Aujourd’hui Israel attire les regards (merci à EeR) car elle semble dicter au monde son bon vouloir. Une parole divine annoncée le jour même par les autres grandes églises serviles que sont les cultes, les gouvernements et les médias. L’ennemi est celui que l’on veut conquérir et qui résiste. Le martelage est constant, le pilonnage intensif. Nous sommes passés à un autre degré dans l’échelle de la domination/soumission. Ce pouvoir biblique foudroyant est dans les mains d’enfants capricieux et irresponsables, eux-mêmes jouets de forces intérieures. Ces nains peu nombreux, possèdent des leviers de commandes importants, l’agroalimentaire, le médical, l’armement. Nous vivons un règne de terreur, l’anticipation d’une folie meurtrière, le spectre d’un hiver nucléaire avec ses morts et ses famines. C’est à la fois une menace et une promesse.
La censure n’a pas de parti et aucune propagande n’est raisonnable. L’enjeu qui était de vous maintenir dans le théâtre de guignol de la lutte des classes est devenu dérisoire. Les marionnettes ont fait de l’insatisfaction une religion et la violence est leur crédo. Jésus a prêché l’amour et Bouddha a fait de la souffrance son cheval de bataille. L’amour s’est transformé en ingérence. Sans comprendre le 1er concept qui est la cessation de l’ignorance, nous continuerons de tendre la joue pour recevoir des baffes.
Peut-être sommes-nous les victimes d’une fin de cycle programmée, implacable, violente. Notre destin est-il de retourner en enfance, à l’élémentaire, à l’atomique ? Disparaître pour mieux être ? Pour l’instant nous évitons l’affrontement et plus tard "on" nous dira que ce n’est plus au désordre du jour. Mais de qui attend-on le signal, y a t’il un maitre du logos qui délivre la bonne parole ?