Gilad Atzmon : « Le Capitalisme et les juifs » de Milton Friedman, revisité
2 juillet 2012 18:52, par seberJ’ai eu un peu de mal à suivre et tout saisir. Mais ce que je retire de cette analyse c’est que Friedman était un rare cynique doublé d’un fanatique. Comme tout économiste, relevant d’avantage d’un idéologue qu’un économiste "scientifique" (ce qui n’a jamais existé).
Le plus énorme : il démontre et justifie, avec l’appui d’ Atzmon, les analyses de Soral et de tous ceux et celles qualifiés d’antisémitisme dans le fait que :
Le (faux) partage gauche-droite est une invention interne aux contradictions juives (donc Friedman confirme lui-même et sans complexe la théorie du complot judéo-maçonnique !!!)
D’où découle que l’idéologie capitaliste et son (encore faux) opposé, qualifié ici par l’Allemagne Nazie (couplée avec Wall Street) et le Communisme proviennent de cette même source : les deux faces d’une même pièce (d’or ?)
A-t-on devant les yeux la tentative de description, d’identification d’une maladie propre aux juifs ? Schizophrénie ? Je ne suis pas loin de le penser.
Voilà pourquoi Atzom rejoint parfois la pensée de Friedman : elle est cliniquement froide, interne à cette communauté - et non pas la cause ou la conséquence d’un quelconque antisémitisme EXTERNE-
En conclusion : le monde doit subir les conséquences des problèmes de cette petite communauté qui a décidé que la maladie venait des autres. En médecine psychiatrique, on doit appelé çà "le déni de réalité".