Les matadors de Wall Street s’apprêtent à achever l’Espagne
9 avril 2012 23:34, par Le Lion du désertL’usure juif et le prêt usurier est la germe patente de cette crise, les Etats-Unis et les pays européens ont injectés des trilliards, imaginez la dimension de cette crise délétère, les grandes banques ont fait faillite. Un des plus grands magazines français et européen de l’actualité économique, Challenges , le directeur de ce magazine avait déclarait dans une article intitulé
"Le Pape ou le Coran" En réalité dit-il , Benoît XVI (de mère juive) nous pardonnera au moment ou nous traversons une crise financière qui balaie tous les indices des croissances sur son passage. C’est plutôt le Coran qu’il faut relire que les textes pontificaux, car nos banquiers avides de rentabilité sur fonds propres avaient respecté un tant soi peut la Charia nous n’en serions pas là, il ne faut pas dire que la finance islamique est moyenâgeuse. Les pays du Golfe nous l’ont montré leur mentalité d’entrepeneur.C’est pas un hasard si les banques du Golfe sont sortis indemme de la crise de subprime, c’est qu’elle n’y est pas entrées. Le respect de ce principe du Coran est trés utile dans la relation que chacun entretient avec l’argent, entreprises, particulier. Les personnes morales n’ont pas le droit de s’endetter au-delà de leur capitalisation boursière, quand aux personnes physiques elles ne peuvent de facto spuffrir d’endèttement. Et même si ces règles reposent sur un texte du VIIe siècle, Benoit XVI aura du mal à faire des sermons davantage puisés dans l’actualité. Wall Street mûr pour la Charia ? "
La gravité du Ribaa(usure) comme disait Cheikh Imran Hussein produire l’argent pour l’argent. Le rédacteur en chef Roland Laskan met l’accent sur la nécessité d’appliquer la Charia dans le cadre de la finance islamique et mettre fin à cette crise qui destabilise les marchés du monde en raison de la mauvaise spéculation financière commerciale et boursière. Roland Laskan parle en connaissance de cause. Michel Allais seul économiste français distingué par le Prix Nobel de sciences économiques propose cette solution de l’immoralité bestiale du capitalisme sauvage. Les illustres savants musulmans savaient avant 14 siècles que cette crise dévastatrice aurait lieu. L’usure dans la langue arabe est l’accroissement, le profit usuraire est illicite et inerdit, prohibée.