La vérité, c’est qu’il n’y a pas d’avenir pour Jérusalem, centre d’une pensée narcissique, qui croule sous les contradictions, les apories, et qui ne s’en sort in extremis que par la double éthique, le deux-poids-deux-mesures.
D’ailleurs, je pense qu’au fond d’elle-même, l’âme talmudique ne veut pas vivre ; pas vraiment : un Narcisse totalitaire et esclavagiste ne peut aimer la vie. Au contraire de celui qui, aimant l’humanité toute entière, aime vraiment et passionnément la vie.
Le projet talmudique est un projet de mort, y compris pour la caste censée dominer le monde.
Le projet helléno-chrétien est un projet de joie, de chaleur humaine, de vie.