Il faut un siècle pour changer une société (4 générations).
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Ce qui se passe aujourd’hui est l’aboutissement des 4 générations précédentes, vers un but ultime d’une gouvernance mondiale (pas encore aboutie, mais en dernière phase) qui a d’abord été pensée il y a plusieurs siècles et véritablement entreprise, il y a une centaine d’année.
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C’est donc un long cheminement réfléchit par les premiers et idéalisé par les suivants des dynasties bourgeoises qui se sont succédé dans la direction des affaires familiales (au sens large). Donc, on pourrait dire que tout se passe comme prévu. Destruction par la guerre des anciennes dynasties bourgeoises européennes, construction de blocs macro-économiques bien distincts et marqués d’une politique d’opposition favorisant la concurrence idéologique et économique, création d’une ébauche de gouvernance mondiale par un organisme regroupant les principaux acteurs du mondialisme (ONU), puis globalisation des échanges.
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Nomadisme des économies, de la finance et des entreprises, suppression des croyances culturelles, religieuses, idéologiques régionales, assassinats des opposants révolutionnaires et enfin accomplissement d’un nouveau monde, tout beau, tout neuf, où règne la paix et l’harmonie.
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Et les bienfaiteurs de l’humanité (au cerveau détraqué et pourri par le pouvoir, mais c’est un détail hors sujet et vraiment sans importance) ne comprennent pas pourquoi des mécréants incultes refusent toujours de croire au merveilleux avenir, où tous les humains vivraient en communion, youkadi youkada. Ces gueux rétrogrades, attachés à des valeurs préhistoriques, ne veulent pas du monde merveilleux de Goldman Sach. Ils ne sont pas nombreux, il faudra les contraindre par la force, les rendre heureux malgré eux à dit le grand prophète Rockefeller, avant d’ajouter, il faudra probablement supprimer 50 % de la population mondiale pour arriver à nos fins. Nous avons la responsabilité de l’humanité a t-il conclu devant l’assemblée prosternée du temple Bidelberg.
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Nous serons donc esclaves...., mais heureux. Et le bonheur ne mérite t-il pas un peu de soumission ?.... Et si, moi, je ne crois pas au bonheur ? Et si je veux rester dans ma contradiction, mes rêves d’un bonheur personnel, bien à moi. Et si je voulais la liberté de choisir mon bonheur.
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La liberté, est supérieure au bonheur a dit le poète. Ils faudra bien leur faire comprendre qu’un humain n’est pas un animal qu’on conduit au champ des délices, comme une bête domestiquée.