 
					René Guénon sur l’Antéchrist « de descendance juive »
9 octobre 17:56, par Igor StrychnineRené Guénon nous a donné la clef métaphysique du Mal dans son chapitre sur la "Conjonction des extrêmes" : "La convergence des extrêmes" se trouvent explicités dans l’œuvre du Maître, notamment dans son livre, Initiation & réalisation Spirituelle, Éd.Traditionnelles, au chapitre « Convergences des extrêmes » : « … le point le plus haut se reflète au point le plus bas qu’on peut dire que les extrêmes se rejoignent […. » En parlant des « Ténèbres Supérieures », le Maître nous apprend que celles-ci sont : « la Lumière qui surpasse toute lumière, c’est-à-dire, au-delà de toute manifestation et de toute contingence, l’aspect principiel de la lumière elle-même ; et c’est là, et là seulement, que s’opère en définitive la jonction des extrêmes. »
La transcendance divine absolue est implicitement identifiée à la profondeur absolue du mal ! C’est pour cela que certains glossateurs qui méconnaissent cette convergence des extrêmes en parlant de “Supérieurs Inconnus“ ne peuvent s’empêcher de nous les décrire comme “Inférieurs anonymes“. 
Il suffit pour cela d’admettre que la force centrifuge incarnée par la “Contre-Initiation“ au service du Sionisme, si elle est ponctuellement maléfique, devient « globalement positive » si on l’envisage sub specie aeternitatis. Pour Ibn Arabî, par exemple, l’un des maîtres de l’ésotérisme islamique : « La Miséricorde divine [...] se manifeste dans le mal comme dans le bien. » Formule que Titus Burckhardt commente ainsi : « Le mal est “bon“, non en tant qu’il s’oppose à un bien, mais par son fondement ontologique, qui est forcément positif, puis dans sa causalité qui implique nécessairement des facteurs positifs, et enfin dans sa nécessité cosmique. » (cf. La Sagesse des Prophètes, Éd. Albin Michel)
Enfin pour ceux qui auraient oublié Isaïe 45 ; 7 . « Je façonne la lumière et Je crée les ténèbres, Je fais la paix et Je crée le malheur. C’est moi, le Seigneur, qui fais tout cela. »
Natanyahou remplit donc le rôle dévolu à cette métaphysique des abysses. Le mot « abysse » que l’on crut longtemps d’origine grecque, vient en réalité du mot sumérien Ab-zu, et désigne littéralement les « profondeurs de l’espace », mais aussi, selon une acception dérivée, la « Maison du Savoir ».

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