J’aurai pu être presque convaincu de cette pitrerie comme un petit manipulé de la propagande sociétale sous stéroïdes médiatiques. Mais quand je mets à marche ne serait ce que une petite logique de base, je commence, de suite, à m’interroger de la crédibilité de la source. En d’autres mots , au bout du même nombre, très non négligeable , qu’Ovidie avait honoré comme services, auprès de Marc Dorcel & co, si une mère de foyer, mariée, ayant sacrifié son angélisme de meuf au service sexuel et domestique d’un pauvre prolétaire et ses enfants, et ayant arrivée a produire ce crachat de médiocrité , j’aurai là eu un modeste penchant à dire que « ces salauds de prolos peuvent en agacer plus qu’une, après tout qu’est ce qu’elle en gagne la pauvre à se faire baiser par un poilu pendant 2 décennies ça ne peut pas être que la loi divine de la nature ?… Car celle là est vraiment très très non négligeable » . Mais dans l’exemple d’Ovidie, c’est différent même très différent. Une « star » du x (en minuscule dans ce cas), veut finir sa carrière en beauté et qu’elle doit deviner comment le faire, je la comprends. J’y arrive . Car il est difficile d’avaler (oui…cette fois il l’est !) les deux décennies de loyauté sans issue royale qui garantirait à la fois les avantages de la célébrités « mitigés » et le passage à la caisse que les années de règles menstruelles permettait de gagner . La stratégie est médiocre comme l’œuvre qui est suivie (follow de money). La nature est dure mes amis et nous oblige à porter chapeau à la meuf du prolo car elle au moins elle mourra avec honneur .