Quand le lobby s’invite à l’Élysée
22 septembre 13:57, par Saturnin PompierL’extrême cruauté des Israéliens, leur sauvagerie inouïe, les atrocités sans égal qu´ils commettent, la folie furieuse qui les habite n’est pas une vengeance démesurée, une réponse excessive à une agression subie, une réaction disproportionnée à un coup encaissé. Les monstrueuses agressions des Israéliens contre tout le monde autour d’eux ne sont pas les morsures d’un chien enragé acculé dos au mur. À la rigueur on pourrait le comprendre sinon le justifier.
Nous ne sommes pas devant une réponse (aussi exagérée fût-elle), sinon face à la manifestation exacte d’une nature. Le scorpion ne pique pas par vengeance, mais par vocation.
Il faut chercher l´origine de cette férocité, la matrice qui a enfanté de cette rage meurtrière, les éléments constitutifs de cette passion pour le meurtre massif des autres, cette volonté d’extermination qui se nourri d´un racisme unique et sans précédents, et qui repose sur une haine envers l´humanité qui glace le sang, et que les anciens textes déjà nous exposaient sans détour il y a 3000 ans au moins.
Toutes les horreurs auxquelles nous assistons ne peuvent pas être un phénomène récent, un accident de parcours dans le droit chemin, une déviation malencontreuse, mais passagère du message initial, une fièvre momentanée de laquelle on guérira un jour. Cette joie démentielle pour les souffrances d’autrui, cette jubilation face à la mort et la douleur infligée à d’autres ne porte-t-elle pas un nom ? (Il faudrait peut-être avoir recours non plus à la politique ni à la religion mais à la psychiatrie. A moins que tout ça ne soit en réalité la même chose).
On improvise pas en quelque décennies une telle cruauté, une haine si impitoyable envers les autres, un sectarisme criminel aussi terrifiant, une frénésie si exaltée pour l´assassinat de tous ceux qui sont au-delà du cercle restraint de élus.
Il faut identifier et définir la nature de ce ventre fécond d’où a surgit la bête immonde du sionisme.
Nous ne sommes pas là, comme veulent croire et prétendent certains Juifs et non-Juifs qui s’émeuvent (souvent jusqu´aux larmes) devant ce une dérive monstrueuse, (qu´ils condamnent) des leurs ou de leurs favoris qui ont fait fausse route. Nous sommes bien devant l’expression exacte de l’échafaudage mental et spirituel d’une espèce d’hommes qui puisent la justification de leurs actions déviantes dans une psychopathie collective vieille de plusieurs millénaires et se déclarent en conséquence ouvertement les ennemis de l’humanité.