Le juif, éternel coupable : c’est Causeur qui le dit, pas nous
5 septembre 22:43, par Aymard de Chartres
Finkiel brillant intellectuellement, il fallait vraiment oser la faire celle-là car le mec, tellement habitué à enchainer les phrases comme certains savent enfiler les perles, ne cesse de répéter et reproduire un schème qu’il adapte aux circonstances du moment et selon son état d’esprit préfixé à un horizon indépassable où le sionisme et Israël occupent la centralité de ses préoccupations essentielles. Finkiel n’a jamais atteint le stade de penseur et est bien loin d’y être car ses pensées et son état d’esprit sont incessamment contaminés par le désordre d’un conscience bornée entre deux apories. Et le mensonge lui colle à la peau et il s’en enivre et accommode naturellement. Bref, le mythe est aussi une construction de l’esprit dont il a besoin et qu’il érige, à titre de bouclier ou d’écran, afin de poursuivre en presque toute quiétude ses aventures exécrables, malhonnêtes ou malfaisantes.
Observons que le second - et dernier paragraphe - qui est bien évidemment de mes doigts claquants qui suivent le mouvement spontané dicté par ma claire conscience, à l’avantage de bien tenir, à l’instar d’un costume de trois pièces ajustables, le profilage des personnalités dans l’essence même qui les a façonnées quasi uniformément dans un moule d’absoluité et de perfection unique préalablement consacré par l’onction divine exclusiviste, insoluble et non-miscible.