Le problème n’est pas tant la drogue que la dépendance qu’elle génère.
Quand le simple désir revêt le masque du besoin irrépressible... comment faire la différence entre les deux quand on ne sait même plus reconnaître ses propres émotions ? Dis-moi à quoi tu carbures, et je te dirais de quoi tu souffres.
L’alcool, la came, les médocs, le sucre, les écrans, le sexe, la consommation (le "shopping"), le sport, ou même le travail... pas de conséquences néfastes pour ce dernier, me direz-vous, sauf le jour où tout s’arrête, un petit "plan de sauvegarde de l’emploi" et c’est la dinguerie assurée.
Pas évident de trouver comment lâcher sainement la pression, surtout quand on baigne dans le vice. Force à tous ceux qui luttent quotidiennement contre leurs démons.