Un livre de philo à la plage ?
Vous êtes fous !
15 juillet 18:56, par Bernard Lapotre
En ce qui concerne le "bouquin de connaissances", le plus difficile n’est pas seulement de le lire (chose qui n’est pas donnée à tout le monde), mais de lire les bons et d’en retenir quelque chose, dans une optique non pas d’un savoir encyclopédique stérile mais d’un savoir total (rassembler les pièces du puzzle).
En ce sens le "bouquin de divertissement" ici injustement dénigré comme "plaisir fugace", est bien au contraire complémentaire en tant qu’illustration accessible, parlante et contextuelle de thèses complexes (bien entendu ici on ne parle pas de littérature de hall de gare).
C’est pourquoi les programmes de français-philo de classes prépas s’articulent toujours autour de trois oeuvres : un essai, un roman et une pièce de théâtre.