BFMTV se surpasse : « Alain Soral recherché pour provocation au terrorisme » (iranien)
4 juillet 01:19, par KoussikoussaSoral dérange. Donc il est utile.
Quand BFM crache sur Alain Soral, ce n’est pas un reportage, c’est un réflexe. Comme un chien de garde qui aboie quand il sent l’odeur du vrai. On ne lui reproche pas un crime, on lui reproche un axe : anti-israélien, pro-iranien. Autrement dit, un Français qui ne rampe pas.
Le système n’a plus besoin de convaincre, il dresse. Soral refuse le dressage. Il parle encore la langue des hommes, pas celle des larbins. Il dit que la France n’a aucun intérêt à être la colonie mentale d’un État voyou comme Israël, et que l’Iran n’est pas le diable, mais un pays qui dit non. Ça suffit pour mériter la censure, les procès, la diabolisation.
Israël est devenu l’intouchable : tu le critiques, tu es antisémite. Tu soutiens ses ennemis, tu es dangereux. La logique est simple : tout est permis pour défendre l’impunité de Tel-Aviv. Tout est interdit pour défendre une pensée dissidente. Et ceux qui t’interdisent de penser, ce ne sont pas des adversaires : ce sont des ennemis.
Ceux-là veulent une France molle, soumise, aseptisée. Une France qui pleure sur Gaza mais vote pour ceux qui arment Tsahal. Une France qui punit Soral, mais invite Netanyahou. Ils veulent une France sans nerfs, sans colonne, sans hommes.
Être anti-israélien aujourd’hui, c’est une nécessité vitale : refuser qu’un pays qui tue à visage découvert impose sa morale au reste du monde. Être pro-iranien, ce n’est pas adorer les mollahs, c’est reconnaître un pays debout, quand tout l’Occident est à genoux devant la finance, l’OTAN et Hollywood.
Soral n’est pas un prophète. Il est un thermomètre. S’il est persécuté, ce n’est pas parce qu’il ment. C’est parce qu’il nomme les choses. Et nommer les choses, aujourd’hui, c’est une déclaration de guerre.
BFM t’explique quoi penser, quoi aimer, quoi haïr. Toi, tu choisis de penser à l’envers. C’est là que commence la liberté. Et c’est là que Soral devient dangereux pour eux.
Alors protège ceux qu’ils traquent. Non pas par naïveté. Par stratégie. Car ceux qu’ils veulent faire taire sont ceux qui peuvent encore te réveiller.
Et cela, mon cher, te montre qu’ils sont déviants.