Homme né en 70, pile poil dans le début du féminisme, j’ai été éduqué à savoir tout faire de mes dix doigts, coudre, repasser, laver, préparer à manger, torcher les gosses ... ET réparer la bagnole, refaire l’électricité, porter les valises, porter les commissions, réparer le vélo des gosses....
Je sais tout faire.
== préambule posé ==
J’ai épousé une victime du féminisme ( une femme ) qui considérait qu’elle n’était ni ma boniche ni ma ’pute’, et en même temps ne voulait pas s’occuper de la bagnole ni porter les valises ou les commissions.
== Résultat ==
Elle ne foutait plus rien et me méprisait car, si je remplissais mon rôle d’homme et de père ( normal pour elle ) je m’acquittais aussi des tâches ménagères. De plus ça la ’privait’ d’une partie de son rôle de maîtresse de maison, sachant qu’elle préférait laisser une maîtresse s’occuper de mes besoins.
== Prologue ==
Elle est seule, gagne assez bien sa vie pour avoir une femme de ménage et se faire livrer les commissions.
Je suis avec une femme qui ne me laisserait pas sortir avec une chemise non repassée, chez elle c’est rangé et ainsi elle a mis la barre très haute sur ma condition d’homme, d’amant, de protecteur, de jardinier, etc.
== Conclusion ==
Les hommes sont des hommes, avec des goûts et des envies d’hommes.
Les femmes sont des femmes avec moins de force et plus de peurs.
Le seul atout d’une femme c’est d’être une femme, et de s’occuper du "repos du guerrier" de sorte que son homme soit un guerrier et qu’il puisse se reposer.
== Conclusion 2 ==
A la jeune génération : il n’y a qu’une vérité : XX ou XY . POINT BARRE