Puisque vous l’appelez comme cela, j’avoue que Kiraz, par ses dessins, m’a initié à « la salope ». Mais j’avais déjà, dans mes organes de visée peuplant mon observatoire, une tante qui menait son monde...
La seule chose qui nous sépare, quant à l’esthétique du trait, reste la profondeur du bonnet.
Mais, au-delà du monde au balcon, avais-je bien saisi les intentions de cette espèce particulière montée sur talon.
Aussi ai-je appris à les retourner pour éviter de me faire pigeonner, à les dévergonder plus encore jusqu’à immortaliser les instants. Parce que, votre « salope », comme l’entendez, a aussi ce côté exhibitionniste, sauf dans son propre milieu. Et puis, l’autre empire, celui su soleil levant, m’ayant initié très tôt aux parfums du dojo où l’on forge esprit et cardio ainsi que certaines techniques, une médiévale (hojōjutsu) m’est apparue, assez jeune, du reste, par glissement : aussi ai-je appris à faire des nœuds. Et cela, la Parisienne et consœurs... aussi féministes soient-elles...
Merci Kiraz donc, d’avoir éveillé quelques sens.