Iran-Israël : coup pour coup
20 juin 06:01, par Clofer
Tous ces dirigeants jouent au kriegspiel avec la vie des gueux, non sans les avoir bien chauffés par une propagande bien orchestrée.
Ils ne savent pas ce que c’est de mourir brûlé vif dans un char détruit dont on ne peut s’extraire, déchiqueté ou démenbré par des éclats, voire écrasé par les plaques de béton d’un immeuble bombardé.
En 1918, les austro hongrois voulaient mettre fin à la guerre mais Clémenceau, laïcard fanatique, a refusé pour continuer la guerre et achever ses ennemis car il détestait les catholiques. Qu’est-ce qu’ils en avaient à foutre ceux qui crevaient dans les tranchées pendant que leurs femmes tenaient toutes seules la ferme et s’occupaient des gosses ?
Il y a des fois où on se sent anarchiste, pas comme les crétins qui posent des bombes, mais comme Brassens si plein de sagesse et d’humanité.