La corruption endémique des élites européistes, en France et dans l’UE
3 juin 10:21, par SevLe livre de Bardèche (proposé sur KK) est conseillé à tous ceux qui veulent vraiment saisir l’arnaque de ce qu’on appelle en Occident la "démocratie"...
L’anthropologue anarchiste David Graeber dans son livre "La démocratie aux marges" met en lumière une évidente contradiction entre l’égalité et la non hiérarchie portées par le concept démocratique et la réalité coercitive et intolérante des Etats modernes.
Partant de ce constat, l’on saisit mieux les causes de la corruption croissante des élites censées porter le fait démocratique dans toutes les institutions occidentales. Sachant parfaitement que le pouvoir que l’état accorde à ces élites de tout poil ne s’étend jamais aux peuples, il inévitable que les élites fassent tout leur possible pour maintenir les peuples hors d’une démocratie effective.
Avec le temps, et les corruptions de plus en plus fréquentes et lourdes à l’intérieur des états, le pouvoir initial des états a été transféré aux multinationales, fonds de gestions monstrueux et autres fondations philanthropiques bidons.
Avec ce nouvel Etat Mondial aux intérêts totalement privés ayant acheté la quasi totalité des élus, s’est répandu un autre mal que l’on présente aux gueux comme normal : le lobbying (rien qu’à Bruxelles, ce sont pas moins de 50 000 lobbyistes qui travaillent pour 12 000 organisations non étatiques... on a vu la toxicité du lobby Pfizer).
A ce stade, il est malhonnête de continuer à parler de "démocratie" dans nos pays en ruine car elle est, de surcroit, incompatible avec le régime républicain, lui-même, s’étant imposé par la domination d’une certaine élite qui décida que le peuple n’avait (et n’aurait) aucun réel pouvoir de décider de son destin pour cause d’incapacité à...
Ajoutons les mouvements tels que le féminisme et l’anti racisme obsessionnel et l’on obtient une infantilisation massive et un chaos social chronique.
Graeber suggère qu’une véritable démocratie ne peut être effective que si elle concerne des groupes restreints. Ce en quoi il n’a pas tort. Une démocratie mondiale est un non-sens alors qu’elle n’est que l’arnaque ultime d’un long processus d’aliénation des peuples en passe d’être intégralement pris au piège des multinationales parfaitement prédatrices qui visent, à terme, la réduction numéraire du cheptel.
L’invention de l’argent en lieu et place du troc et du lien de confiance n’a pas fini son travail de destruction... et l’avénement de la crypto est le dernier clou du cercueil démocratique...