0,1 à 0,2 % de la population est intersexe au sens strict (ambiguité génitale visible). Eux seuls sont habilités à décider quel est leur sexe, et éventuellemet à en changer s’ils ne se reconnaissent pas dans le genre qu’on leur a attribué à la naissance. Généralement, ils savent d’eux même de façon intuitive dès leur plus jeune âge à quel sexe ils se rattachent.
Pour ce qui est des autres, pour qui il ne s’agit pas d’une réalité physiologique, mais uniquement d’un ressenti psychologique, il s’agit aussi d’un problème relevant de la médecine, mais de la médecine psychiatrique uniquement. Il n’y a aucune raison que des mineurs souffrant de troubles psychologiques puisse décider de se faire charcuter sans l’aval de leurs parents.
Si la loi décide de favoriser et faciliter les changements de sexe au seing des populations vulnérables psychologiquement (mineurs et/ou personnes psychotiques), c’est sans doute avant tout qu’il y a un Lobby qui y voit un moyen de gratter un billet avec ces personnes vulnérables, et donc un créneau très lucratif comme c’est le cas pour la chirurgie esthétique, qui la plupart du temps consiste à se faire charcuter en espérant que cela résoudra un problème psychologique, voire psychiatrique.
Quand à ceux qui lorgnent vers les maternelles, déguisés en fées à barbe, leurs intentions devraient être évidentes pour quiconque est encore doté d’un cerveau.