Du yahvisme au satanisme et au transsexualisme
15 avril 01:37, par PalumbusExcellente démonstration : le transsexualisme comme arme de destruction finale de l’autre, parachevant un projet de haine plurimillénaire.
A ce propos, un point demeure trop souvent inabordé : l’effrayant succès du transsexualisme au sein des populations occidentales. L’Espagne puis les Pays-Bas ont élu des transsexuels miss sans que cela ne suscite d’émoi particulier. Les jeunes femmes - qui se pressent aux gay pride comme autrefois aux processions - deviennent hystériques dès que vous émettez la moindre critique contre cette nouvelle catégorie sacrée, à qui elles confient volontiers leurs enfants lors des ateliers de lecture à drag queens. Plus près de moi, les nombreux changements de genre qu’on m’a rapportés ces derniers temps, concernant de jeunes bourgeoises de gauche mais aussi, chose bien plus terrifiante, un prolo provincial et le collègue baraqué d’un ami électricien - autrement dit, même les catégories sociologiques frontistes sont contaminées ! Je ne l’avais vraiment pas vu venir.
Quid des enseignements chrétiens dans ce processus ? « Il n’y a plus ni Juif ni Grec, il n’y a plus ni esclave ni libre, il n’y a plus ni homme ni femme ; car tous vous êtes un en Jésus Christ. » Galates, 3:28. N’est-ce pas là le maillon manquant expliquant le passage de l’égalité mathématique à l’égalitarisme fou (A.S.) sur lequel prospère le transsexualisme et avant lui le féminisme ? Et comment ne pas penser aux mutilations LGBT+ à la vue des anciennes photographies de Scoptes ? En parlant de mutilation : « Car il y a des eunuques [...] qui se sont rendus tels eux-mêmes, à cause du royaume des cieux. » Matthieu 19:12 - verset qu’Origène appliqua littéralement, de même que des milliers d’autres clercs jusqu’à ce que l’Eglise bannisse la pratique au XIIe siècle, y voyant une solution de facilité. A noter que sur E&R même, un catholique me balança ce verset avec véhémence après que j’eus osé dénoncer le topless et l’injonction à l’auto-castration (pour reprendre les mots d’A.S.) qu’implique cette pratique. Peut-être que je digresse, mais il me semble que ce rapport ambigu qu’entretient le christianisme vis à vis de la virilité, de la sexualité et de la différence des sexes a crée le terrain anthropologique favorable au développement du féminisme et de l’homotranssexualisme.
Le chrétien sécularisé, toujours pétri de ces enseignements mais libéré du droit canonique et de la peur du Jugement dernier, cible idéale de la subversion ultime LGBT+ ?