Un dernier commentaire pour opérer une distinction entre les pompiers parisiens et les pompiers de campagne.
C’est un fait connu que les pompiers de paris, militaires, sont un repaire de connards. Et ceux qui ne le sont pas sont de toute manière méchamment bisutés pour le devenir.
Le pompier de province dans un petit centre de campagne c’est souvent bien différent, même si ca change bcp d’une caserne à l’autre, et même si j’ai effectivement observé que pas mal de jeune pompier se la pète comme pas possible, alors que c’est un boulot de faible compétence de base.
Il y a aussi un problème de niveau physique évident... si je prends la photo des pompiers de ma caserne du coin (le calendrier), y a 80% de gros et 10% de jeunes limités intellectuellement (ça se voit), y a même des filles (grosses aussi, un comble vu qu’elles sont de bases moins efficaces physiquement).
D’autres commentaires sont véridiques : bcp de pompiers sont payés à glander... mais cela ne me choque pas. Car il faut bien glander, c’est à dire être mise à disposition pour être prêt à intervenir quand il y a besoin.
Et oui les places sont bonnes : pour les pro 2 jours d’astreintes, 2 jours de récupération. Sans compter les vacances, ça fait énormément de jours de vacances réelles (surtout si en plus on a rien fait pendant les astreintes).
Pour les volontaires : exonérés d’impôts. Et on est loin d’un travail à la chaine à l’usine...
Comme je disais, les places sont bonnes.
A condition d’accepter les piquouzes.