Quoi de plus efficace, pour neutraliser définitivement toute force virile efficace dans une société, que de soumettre un maximum d’hommes à des régimes de bovins et de poules ? Oui, on peut parler de génération de brouteurs(euses)...
Ajoutez à cela la migration massive des jeunes hommes (encore viriles) du sud vers le nord et vous faites coup double... vidage des défenses des pays spoliés et dévastés par l’empire du pire et dilution programmée des derniers vrais mâles dans les pays envahis.
A la fin, on a des nouveaux peuples recomposés de jeunes hommes encore un peu viriles qui, à terme, seront à leur tour dévirilisés par imitation des nouveaux us et courtumes d’un occident vidé de son sang et de ses hormones mâles. Et au sud, un résidu de peuples composés majoritairement de femmes sans hommes, donc faciles à manipuler pour exploiter intégralement les ressources du pays.
Pendant ce temps, côté occident, on n’a plus que des femmes, majoritairement frustrées et hystérisées par le lessivage de leur supposée libération, qui imitent en tout les hommes d’antan. La culturiste bourrée de testostérone synthétique et qui se gave de protéines... de lait (! !) est l’emblème de la nouvelle pathologie femmino-émasculante de cet occident décidément en phase finale...