Soral répond... sur ERFM ! – Quarante-et-unième fournée
28 mars 12:29, par AlexisAu delà des réseaux sociaux et de ce qu’on peut trouver sur la toile, le téléphone portable était déjà en lui même une saloperie à tout point de vue, le smartphone, son aboutissement l’est évidemment d’autant plus.
On peut résister tout ce qu’on veut, aujourd’hui, il devient difficile de recevoir un coli sans smartphone, ou de voyager si on peut toujours imprimer le ticket.
Cet instrument est bien un outil privilégié de la domination et du contrôle des peuples, la "pandémie" l’a couronné.
Pour prendre le train après s’être fait fourrer le nez, il fallait au minimum l’accès au mail si votre voisin voulait bien vous scanner le QR code et vous envoyer le sésame par courriel.
QR qui maintenant fleurissent partout mais qui avait déjà fait une apparition remarquée lors de la couillonade Cicada 3301 en 2012.
Deux à trois ans plus tard, Cicada était le nom de code pour "les essaims de drones" de l’armée américaine, Close-In Autonomous Disposable Aircraft...
Avant que JLM ne choisissent sa gauche pour disposer de militants dans la rue, puis de fermer les yeux sur leurs dérives, pour finir par y souscrire.
Cela ne concerne finalement que peu de personnes au départ, des militants "féministes" ou "antiracistes" spécialisés, une partie plutôt marginale de la "communauté Lgbt".
Et ici aussi, on peut admirer le "développement" dans la durée, en Europe et en parallèle aux USA, ce qui ne peut qu’aiguiller vers un accompagnement volontaire de "l’agenda".
Avant, bien entendu aussi, l’attitude pendant la pandémie, "convaincre plutôt que contraindre", les mots de l’OMS, une opposition à minima, seulement et timidement sur le "pass", c’était au mieux du "ramping" en "précampagne" électoral.
Sa gauche, quand à elle, était en pleine hystérie face aux fachos criminels antivax.
Je crois qu’elle l’est toujours.
Et avant cette plus récente et relative islamophilie, bien loin de l’émancipation des lumières mais qui rejoint finalement les dérives qu’on dit WOK, au nom de l’émancipation, au nom de la liberté, la liberté de s’enchainer, de s’aliéner, de se mutiler, de se détruire.
Et donc avant tout cela, l’enthousiasme de JLM pour le numérique mobile, le naturel avec lequel sa jeune garde écologiste et gauchière sortent les machines, ça m’a toujours fait tiquer.
Parce que ce scientiste se prend et est considéré comme un intellectuel, et s’il l’est "chouïa", il est d’abord un homme de foi, un fanatique.
La question : croit-il vraiment en tout ce à quoi il prétend croire ?