Tout est parti en couilles le jour ou Peter Dinklage a critiqué l’idée d’embaucher des acteurs nains pour jouer le rôle de nains. Lui-même acteur nain vu notamment dans Game of Thrones et Elf, dans des rôles de... nains. Ce dernier film moquait d’ailleurs son nanisme.
Donc : 7 nains CGI hideux. La CGI ça commence a bien faire, d’ailleurs. A part ceux de Dolan et de Villeneuve, qui mélangent adroitement les effets a l’ancienne et la CGI, les films sont devenus moches et rarement créatifs, tout est dans les effets et plus rien dans le style. Valérian a d’ailleurs fait un bide a cause des effets omniprésents et l’absence de toute poésie, ce qui est grave quand on considère le materiel original.
Disney, pour "owner les fachos", s’est aussi mis en tête d’embaucher la pire actrice pour le rôle titulaire : Rachel Zegler, une mi-latino anti-Trump pas très intelligente (je suis gentil). Chanteuse de talent, certes, détectée dans le remake de West Side Story (Hollywood et la manie des remakes), elle sort tous les poncifs wokes les plus débiles dans ses interviews et constamment sur Twitter.
Et surtout elle crache sur l’histoire originelle qui dépeint une jeune fille a l’opposé du concept de la femme moderne : féministe, indépendante, forte et leader. Il faut bien aussi avouer que Rachel Zegler est très quelconque et que l’on a du mal à croire que le miroir magique la trouve plus belle que Gal Gadot, qui joue le rôle de la Reine Maléfique. A moins que ce miroir ait besoin de lunettes.
Du coup, ce film a été rejeté par le groupe démographique qui se déplace pour voir les films dans les multiplex : les blancs de classe moyenne, très majoritairement trumpistes et excédés par le wokisme et les quotas raciaux. Les commentaires ne sont pas très élogieux non plus : ce film est un navet qui finira par couler la multinationale de la souris, un des symboles mythiques de l’Americana globale.
Le seul espoir pour Hollywood serait de donner plus de contrôle aux réalisateurs, et de produire des films moins onéreux mais de meilleure qualité, avec des récits intéressants et des acteurs de talents. C’est dans les années 70 qu’Hollywood a su produire des films aujourd’hui cultes, avec une nouvelle génération d’acteurs et de réalisateurs.