Blanche-Neige 2025 : le flop
25 mars 12:31, par Sedetiam
L’unique chose à saisir et ô combien vaste et complexe au cœur de Blanche-Neige, est l’œuvre (Le Grand Œuvre) alchimique de transmutation (de soi). Modifier d’un iota l’expérience par des éléments sociétaux c’est de fait courir le risque de la foirer.
Quant à l’IA, sa mauvaise interprétation des prompts de même qu’elle se trouve vide, par construction, de toute innéité, devrait l’empêcher de faire naître quelques génies que ce soit, qu’il s’agisse d’un réalisateur, d’un acteur, voire même d’un compositeur.
La problématique du codage est qu’il est fatal : c’est blanc ou noir ; il n’y a pas de zone grise...
L’IA est un artisanat où le cinéma, comme d’autres créations, relèvent de l’art et de son génie créatif en premier lieu. Sauf à faire disparaître de nombreux corps de métier qui gravitent autour dudit septième art, l’IA n’aura jamais l’idée d’un film, sur tel sujet, au gré d’une étincelle, au détour d’un élan intérieur.
Tout comme de toucher le cul d’une actrice en devenir, un tantinet vénale et exogame...