Michel Onfray, âme vénale, philosophe de pacotille ! Tu as troqué la vérité pour l’or, renié le Christ pour flatter d’autres idoles. Ta pensée, produit de supermarché, s’étale et se vend, creuse et mercenaire.
Dans l’ombre et la lumière, où danse la vérité entre les lèvres des sages et les murmures des ignorants, il est un devoir sacré, tant pour l’individu éclairé que pour la masse en quête de salut, de scruter chaque lettre gravée dans une notice. Car nul breuvage, nul élixir ne traverse le corps sans laisser son empreinte, et toute main tendue en offrande peut cacher un tribut à payer. Ainsi, que chacun, dans la clarté de l’esprit et l’audace du questionnement, ne consente jamais aveuglément à ce qui prétend guérir sans d’abord percer à jour ce qui pourrait détruire.