Ce qui importe ce n’est pas d’utiliser la religion, automatiquement identifiée comme "rétrograde" par plus d’un siècle de conditionnement anticlérical gratuit et obligatoire, comme faire valoir de l’homosexualisme patenté, pour le promouvoir par réaction, sans le savoir, comme Monsieur Jourdain faisait de la prose.
La principale problématique, ce n’est las l’homosexualité, c’est son intégration au forceps médiatique et judiciaire dans la norme, et le conditionnement généralisé à l’homosexualisme qui se donne pour objectif de rendre épidémique un phénomène statistiquement négligeable.
L’autre question c’est celle de l’homosexualité dans le football féminin, qui n’est pas sans rappeler le phénomène intéressant de l’homosexualité chez les femmes peintres du XXe siècle, qui semblait être la condition siné qua non et consensuelle pour intégrer de manière "crédible", en tant que femme, ce "métier d’hommes", sans nuire ni à la réputation du métier en en faisant "un truc de bonnes femmes", ni à l’image de la femme héritée du XIXe siècle bourgeois. Par le prisme de l’homosexualité, une femme-peintre cessait d’être "juste une femme" et possédait elle même une femme comme n’importe quel homme-peintre.