Quand on s’emploie à contextualiser l’origine d’une célébration il n’est pas rare de révéler en parallèle un processus rythmé par la course des astres cosmiques dont la terre sans aucun doute fait partie.

Du 13 au 21 mars, il y a sommes toutes 8 jours, une grosse semaine.
L’équinoxe à lieu de nos jours le 21 mars.
« Dans la Perse pré-islamique est célébrée Norouz, l’équinoxe de printemps... ».
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Ensuite, les élites judaïques l’habiller d’un narratif religieux à leur convenance.

C’est quoi l’équinoxe ? « Un équinoxe s’établit lorsque le Soleil traverse le plan équatorial terrestre, changeant ainsi d’hémisphère céleste. La durée du jour est égale à celle de la nuit... ».
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« L’équinoxe est la cause de rituels chez de nombreux peuples anciens, des sites construits il y a plusieurs siècles célèbrent à travers le monde cette circonstance de façon parfois spectaculaire ».
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À l’époque babylonienne, il n’est pas impossible d’évaluer l’équinoxe avoir lieu aux alentours du 13 mars, et non du 21 comme de nos jours, en raison de la précession des équinoxes (et des successives modifications calendaires).

« La précession des équinoxes est le décalage progressif de la direction où sont observées les étoiles, d’un siècle à l’autre, à raison d’une rotation complète tous les 26 000 ans, environ, effet produit par une lente modification de direction liée à l’axe de rotation de la Terre, dans la même durée.
Ce phénomène est déjà remarqué dès les Babyloniens... ».
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Il est possible Jésus ne pas être né un 24 décembre, toutefois, dans les pays septentrionaux, vers cette date, les jours rallongent, ainsi le 24 décembre est célébrée depuis de nombreux siècles par diverses civilisations.

« La célébration de la Nativité un 25 décembre apparaît au milieu du IVe siècle. Le plus vieux document attestant sans équivoque cette festivité est un calendrier latin datant de l’an 354. Cette année-là, Libère, l’évêque de Rome, invite les chrétiens à honorer la naissance de Jésus à Bethléem, en Judée, « huit jours avant les calendes de janvier », soit le 25 décembre. Une date qui n’a guère été choisie au hasard par l’Église ».

« Au sein de l’Empire romain, le 25 décembre est consacré depuis le milieu du IIIe siècle au culte de Sol Invictus (le soleil invaincu), divinité romaine de la lumière, héritée des cultes rendus à Apollon en Grèce antique et à Mithra dans le monde perse ».
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Ceci ne hôte en rien la véracité de la naissance de Jésus.