Le Paristan du Parisrael ou la colonisation sans l’aimer.
C’est comme ça que la "communauté qui n’existe pas" aime les pays qu’elle parasite : apeurés, déconstruits, ruinés, ghettoïsés. C’est sûrement ça, l’inclusion ou la réclusion, je ne sais plus. Comme l’a dit Alain Soral, quand tu as perdu, par les politiques mafieuses et toxiques successives, tous tes soutiens, la famille, la nation, la dignité du travail, la culture, ton indépendance monétaire et internationale, alors tu deviens isolé et manipulable à souhait.
Pour info, il y a une recrudescence de fausse monnaie à Paris. Ce soir, une "chance pour la France" qui bêlait "Blèèèèd" sur le trottoir a essayé de me voler le téléphone, la semaine dernière c’était mon sac. Je suis parti acheter des fleurs, je ressors et mon vélo avait disparu. À une dame de province qui me demandait si le quartier était sûr, j’ai répondu oui, nous avons des raids de policiers tous les quarts d’heure, des ambulances qui les suivent de près, des drones de surveillance et des caméras à reconnaissance faciale. Alors si ça c’est pas de la tranquillité ! Mais sortez sans chaine en or, tenez bien votre sac et ne faites pas vos courses trop tard.