Noah c’est la métonymie d’une France "championne"... le mec à gagné 1 grand tournoi dans sa vie, puis quelques doubles dans la foulée puis a tenté une carrière de chanteur africanisé qu’il a raté comme sa carrière de petit champion de tennis.
Là où d’autres champions confirment leur talent grâce à leur victoires à répétition (Mac Enroe, Lendel, nadal, Joco... pour les hommes et Navratilova, Graf, William... pour les femmes), la France fait dans le ponctuel et le furtif. Une ou deux victoires et hop ! on signe des contrats de pub et quelques tournois de démonstration.
Il y a quelque chose de particulier à la France. Dans pas mal de domaines d’excellence on trouve des exceptions mais tous apparaissent dans des parenthèses qui se referment assez vite. A croire que notre spécificité de jouisseur de vie prend partout le pas sur la volonté Nietzschéenne de toute puissance pérenne.
Pas besoin d’être ni méchant gratuitement ni raciste de bas étage pour affirmer que Noah n’a jamais été un "prix nobel". Son "retour au village" lui permet de jouer les Chef Sage, ce qu’il n’aurait jamais pu faire croire en France ;
On rappelera en passant qu’il n’est définitivement pas confortable d’être métis, contrairement à ce que tente de nous vendre la "nation arc-en-ciel"... on cherche son identité et en général on bascule du côté de celle qui fait "original", et en France, depuis quelques années, être plutôt côté noir c’est tendance... Dieudo tombe dans le même écueil...
J’dis ça, j’dis rien...