Justin Trudeau démissionne (enfin), la voie est libre pour Pierre Poilievre
8 janvier 03:31, par Louis-Paul Moreau
Julien Poulin l’interprète d’Elvis Gratton est mort il y a quelques jours. C’est l’équivalent au Québec d’un Depardieu, d’un Belmondo, d’un Fernandel. Un géant pour nous modestes canadiens-français. Tout le monde l’aimait.
Son rôle d’Elvis Gratton a marqué et est entré dans la légende.
Elvis Gratton c’est le colonisé pure race. Le gars qui admire les anglais et n’a que du mépris pour les Québécois.
En ce moment au Québec on assiste à une aggravation de ce phénomène.
Surtout depuis que Trump insinue de vouloir nous annexer.
Les plus enthousiastes à cette idée ont tous quelque chose en commun :
Ils sont Conservateurs au fédéral.
Le parti qui a pendu Louis Riel.
Cet article louangeur de Pierre Poilièvre me démontre à quel point il y a une incompréhension du caractère des canadiens-français chez nos cousins outre-atlantique.
Ça pince car je croyais qu’ici chez E-R nous sommes tous des patriotes.
Je souhaite sincèrement que la France arrive un jour à retrouver sa souveraineté.
Certains français célèbres sont parvenus à nous aimer et à nous comprendre.
Comme Louis Hémon par exemple de Brest qui a écrit certaines des plus belles pages de notre littérature dans Maria Chapdelaine.
Ou encore Albert Larrieu de Perpignan qui a composé notre hymne national : La feuille d’érable.
Je consulte E-R presque quotidiennement depuis quatorze ans, je vais mettre sur le compte de l’erreur ou de la maladresse cet article ElvisGrattonesque.
Mais il va quand même aux vidanges.
C’est Alain Soral qui m’a fait connaître le Menhir.
Paix à son âme.