Alain Soral rappelle le manque de vocation des juifs pour l´agriculture et sa préférence pour la vente de boissons alcooliques aux goys (il parle ici de la Russie des Tsars). On trouve dans un texte de Einrich Heine ("De la Pologne") ce passage :
"Il serait souhaitable que notre gouvernement cherche les moyens appropriés de donner aux Juifs du grand-duché plus d’amour pour l’agriculture ; car il paraît qu’il n’y a que peu de Juifs agriculteurs. En Pologne russe, ils sont nombreux. L’aversion des Juifs polonais à l’égard de la charrue vient sans doute de ce qu’ils ont vu les serfs dans une situation extérieurement si lamentable. Que les paysans sortent de leur abaissement, et les Juifs mettront la main à la charrue.
A de rares exceptions près, toutes les auberges de Pologne sont aux mains des Juifs, et leurs nombreuses distilleries sont très nuisibles au pays, parce qu’elles incitent les paysans à l’ivrognerie."
En Argentine, par exemple, le Baron Hirsch financia des colonnies juives agricoles (Jewish Colonization Association). Elles ne durèrent pas. Les juifs en Argentine préférèrent emigrer vers les centres urbains pour y excercer des métiers ou des occupations plus en accord avec leur génie et leur mentalité. Aujourd´hui on ne trouve pas de juifs agriculteurs en Argentine, ou alors des exceptions à exhiber dans les cirques, comme phénomènes. On les trouve dans les métiers et les secteurs habituels chez eux (la finance, les médias, les professions libérales (dentistes, avocats, médecins...), le commerce, la politique, l´intelligentsia, le monde du spectacle...
De même, l´expérience agricole des premiers pionniers en Israël est une histoire qui appartient plus au mythe et à la propagande qu´à la réalité. En tous les cas c´est une étape révolue. Je pense qu´il n´y a pas d´agriculteurs juifs en Israël, pas de la même manière qu´en France, par exemple. En Israël les juifs continuent leur tradition de pas travailler de leurs mains.