Un combat frontal est sans espoir à notre époque, à moins d’avoir des moyens colossaux comme le Trump. Se méfier du petit Branco me parait nécessaire, ça va de soi tant le traitement d’un opposant est un indicateur de sa compatibilité au système.
On peut, dans un premier temps, attendre et observer car sans un "pognon de dingue", seul un combat masqué ou indirect peut ébranler un tel système. Faire le ver dans le fruit, quoi...
Nous ne vivons nullement dans un monde honnête et encore moins courageux. L’époque est aux couards, aux tordus et aux traitres. Le petit Branco a eu un avant-goût des méthodes de la part de ceux qui font la pluie, le beau temps et les cyclones (!), il est donc assez compréhensible qu’il emploie la prudence. Espérons que l’absence totale de visée sur l’ennemi historique ne soit qu’une stratégie de crabe (avancer en biais), mais rien n’est moins sûr...
Ce qui est certain en revanche c’est que tant qu’on combattra en frontal on sera perdant... ce n’est pas une question uniquement de courage mais de survivance dans un système dont les agents, eux, ne reculent devant aucune saloperie.