Et j’ajouterai que dans le programme de la castration des pères (la féminisation dont parlait déjà AS il y a des années), on peut constater que dans toutes les séries télévisée françaises, le 1er rôle est, bien entendu, systématiquement attribué à une femme, mais surtout... que son "mec" n’est pratiquement jamais son mari, mais son... compagnon. Comme ça, elle peut en changer plus aisément... ou le lourder sans s’embarrasser d’administration.
Par ailleurs, ces nouveaux hommes-pères reconstruits sont ceux que l’on voit à présent préparer la cuisine et s’occuper de leur enfant (souvent unique) en passant des coups de grelots à madame censée courir après un meurtrier en faisant des courses poursuites et des cascades invraisemblables.
Pas une seule série où l’on ne mette en scnène quelques jeunes homos, si mignons qu’on en pleurerait. Les collègues blancs sont systématiquement des benets voire des crétins qu’elles engueulent copieusement et les "gens de couleur" sont placés en collègues sympas et dévoués.
Plus inversé et caricatural on ne trouve pas ! Non seulement c’est inversé mais c’est invraisemblable à tous les niveaux. Le problème c’est que pour des esprits pas encore finis et influençables, ça marque en profondeur. C’est évidemment l’objectif.
Sardine et ses copines ont effectivement gagné la guerre des sexes et des rôles... mais, la nature prend son temps et lorsqu’elle remettra les choses à l’endroit ça va faire très mal...
Reste à savoir combien de temps l’Occident parviendra à maintenir ses monstrueux mensonges et ses insupportables falsifications en tout domaine....