1- Le nom de la garce que Monsieur Vernochet avait sur le bout de la langue et que son cerveau a légitimement évacué : MADELEINE ALBRIGHT.
À la question d’un journaliste lui demandant si, rétrospectivement, l’embargo sur l’Irak qui a fait mourir 500 000 enfants, en valait la peine, cette criminelle a répondu : « Je pense que c’est un choix difficile. Mais le jeu, nous le pensons, le jeu en vaut la chandelle. » La Albright fut ministresse des affaires étrangères sous Bill Clinton, le copain d’Epstein, perché sur talons aiguilles.
Ce propos d’une indécence inouïe préfugurait déjà l’exultation de jouissance de l’autre femme de la vie de Bill Clinton, la pizzaoïla polyvalente et ambidextre Hillary qui, un temps, brouta goulument la pelouse de sa petite assistante d’origine moyen orientale : « Nous sommes venus, nous avons vu, il [Kaddafi] est mort. »
2- Effectivement, Jean-Michel Vernochet fait un distinguo subtil : l’islamisme, hérésie religieuse, découle sur une obligation de conversion, alors que l’islam, religion révélée, impose un simple devoir de prédication. Ceux qui entretiennent la confusion lors de leurs monopoles télévisés, sont des imposteurs.