Oubliez "Je suis Charlie" : maintenant c’est "Je suis Gisèle"
16 septembre 2024 16:19, par Lazeby
Un proxénète humaniste drogue sa protégée pour lui épargner les inconvénients de sa journée de travail (mauvaise haleine des clients, corps disgracieux, eczéma, transpiration des pieds etc.). Après, comme tous les proxos, il relève les compteurs octroyant de quoi refaire sa force de travail à une travailleuse du sexe.
Oui, mais là il ne s’agit pas d’une péripatéticienne majeure et consentante mais d’une épouse victime de violences répétées après avoir été droguée à son insu. Le droit sert donc bien de morale minimum à ceux qui n’en ont pas (doyen Pierre Truche). Je vais donc me promener dans la rue avec une pancarte : "Je suis proxénète", pour bien me désolidariser de cet infect époux et père de famille indélicat. Une autre chose qui m’arrache dans cette histoire de fou ; je n’ai jamais baisé de femme inconsciente et je n’en vois pas l’intérêt, pas plus qu’une poupée gonflable.