Abel Bonnard, Éloge de l’ignorance (1/2)
14 septembre 2024 15:58, par Guillaume
Ce qui me fascine chez Bonnard, comme pour Barrès, Drumont, Morand ou Alexandre Bertrand, c’est l’extrême correction d’un style ou la profondeur le dispute à une indicible mélancolie.
Au fond, cette mélancolie littéraire est probablement ce que certains appellent le génie français.