Les nationalistes de l’est de l’Allemagne incarnent la branche brun-rouge qui reprend des éléments importants des deux expériences politiques des années 30/39 pour former un esprit social national qui permettrait à l’Allemagne de revenir dans le "game", et de s’opposer au NOM et aux capitalistes financiers apatrides. Pour s’opposer au sionisme qui en est le marche-pied.
Cette aspect de la politique existe en Angleterre avec sa tradition ouvrière et ilienne . Et la France devrait avoir un parti de cette nature, qui mettrait en politique le travail intellectuel et pédagogique de certains sites.
Le RN pourrait se présenter aux prochaines présidentielles. Analyser son échec qui viendra à cette occasion. Changer son nom et ses deux leaders. Et prendre ce virage.
C’est peut être ce que souhaitait Philippot mais pour moi il serait un excellent numéro deux. Il lui manque le charisme et une vision helléno-romaine-celte-chrétienne-sociale-nationale.
La partie sociale qu’on trouvait dans certains aspects du pétainisme et dans le NSDAP de 1933 et dans le fascisme italien des débuts. Pour certains éléments dans le Parti communiste français de Georges Marchais.
Mais aussi dans l’enseignement prodigué par le Christ, après sa rupture avec le judaïsme, durant sa vie et dans les évangiles de ses disciples/élèves.
Kamarads, ne désespérez pas Billancourt, ni la chrétienté authentique.