Il est étonnant que quand l’état israélien judéo-nazi se mette à génocider massivement les Palestiniens, un juif (réalisateur entre autres choses, et dont nous n’avons jamais eu rien à foutre) se sente obligé d’être "encore plus juif".
Un être humain normal devrait être horrifié par le massacre (d’autant plus si il fait partie d’un peuple qui a été génocidé), et devrait le condamner et se dissocier des génocidaires et ressentir de l’empathie non pas pour les assassins, mais pour les victimes innocentes.
Seul une personne souffrant de graves troubles psychologiques (voire carrément un malade mental), assistant à un génocide se sent une empathie qui le rapproche des meurtriers et lui enjoint de se sentir solidaire des bourreaux.
Plus grave, le réalisateur entre autre malade mental, semble s’indigner que les non-juifs puissent éprouver de l’empathie pour les victimes, et suggère qu’il est immoral de critiquer l’impérialisme, la colonisation et le massacre d’un peuple par le sionisme juif.
J’avoue avoir du mal à comprendre ce qu’il espère en venant pleurer et se lamenter sur le manque de compassion des goyims pour les génocidaires.
Cela me semble contre-productif, et plutôt inciter à une détestation justifiée du Sionisme, qui nous rappelle les heures les plus sombres de notre histoire.
Mais peut-être n’y a t’il rien à comprendre , et rien à trouver dans un cerveau malade.
Ou alors peut-être n’y a t’il pas suffisamment d’anti-sémitisme à son goût, et que pour exister en temps que juif, il éprouve le besoin d’en créer et d’en jouir dans une sorte de perversion masochiste, comme ces sionistes de l’Anti-Defamation League, dont le métier est de trouver le plus possible d’antisémitisme, et qui s’ils n’en trouvent pas assez, se sentent obligé d’en inventer ?