Ceci n’est pas une action militaire. Ceci n’est pas une avancée diplomatique. Ceci n’est pas une manœuvre légale. Ceci est un acte de terreur : semer la provocation, afin de justifier la répression. Le sionisme, ce vieux mange-disque rayé, est coutumier du terrorisme émotionnel envers les Palestiniens.
Ces gens-là profanent le lieu sacré des musulmans, mais les accusent de provocation. Ces gens-là assassinent de manière indiscriminée, mais ce sont eux qui hurlent de douleur. Ces gens-là s’arrogent des passe-droits qui nient les droits fondamentaux des autres : cette présomption de supériorité et d’impunité, relève du terrorisme.
Mille réincarnations ne suffiront pas à rendre acceptables à la conscience, ces agissements provocateurs, ce renversement de logique, cette effraction morale. Le monde entier les regarde, et peine à dissimuler son mépris : 57 pays ont déjà verbalisé une condamnation d’Israël, soit 1/4 de la représentation politique de la planète.
L’absence de vergogne, le déni des limites, et la morgue totalement désinhibée, sont des marqueurs psychiatriques de la folie. Et à l’horizon de cette indécence, nulle prospérité ne se profile pour cette entité outrageante et outrancière, qui brandit tantôt la mort, tantôt l’humiliation de l’autre, comme étendards politiques : le sionisme défie les lois de la bienséance et de la rationalité. Je suis dans la sidération, en dépit de la répétition.