John F. Kennedy Jr. et la malédiction kabbalistique
27 juillet 2024 23:33, par MivilleIl faut arrêter un peu le char. Le personnage posthume de JFK sert la cause sioniste comme peu de sionistes vivants le font : tous les Valéry Giscard d’Estaing, tous les Trudeau père et fils, tous les Vargas Llosa, tous les grands bien-pensants au pouvoir qui font la fortune éditoriale de Dominique Lapierre et Larry Collins prennent pour premier soin de se réclamer de l’oeuvre de JFK à continuer chacun à leur manière. Si les sionistes l’ont tué c’est bien pour le vouer à l’apothéose en tant que personnage trop bien pour être vrai. Le personnage de MLK a été panthéonisé de la même manière par les mêmes sionistes qui panthéonisèrent JFK.
Et on sait que si panthéonisation après assassinat glorieux il n’y avait pas eu les deux figures auraient fait bien piètre figure, à la manière d’Obama qui est politiquement parlant un parfait descendant métis des deux. Les deux figures politiques ont été parmi les toutes premières à compter sur des discours scriptés par d’autres voire plagiés et à projeter au grand public une image de personnage de fiction télévisée. Bref leur avènement marque le consentement de la part d’eux-mêmes comme de leur public à ne plus être que des personnages de fiction se laissant façonner jusqu’au bout par l’état profond plutôt que des décideurs d’expérience.
Dans la réalité MLK "never had a dream" : c’était un raciste anti-blanc revanchard ultra-soumis aux Carpetbaggers et aux juifs le déployant qui se faisait monter des prostituées blanches pour les violer et qui en avait monter à son hôtel encore de nouvelles pour la nuit qui devait suivre le discours de son assassinat.
Dans la réalité également JFK fut élu de façon incertaine et minoritaire au terme de ce qui fut probablement l’élection la plus grossièrement truquée de l’histoire US : l’élection portait sur le complexe militaro-industriel. Nixon à ce moment précis était pour la poursuite de la prospérité américaine inédite dans l’histoire centrée dans le Steel Belt comme seule bonne garante de la montée en puissance et prestige de la nation, tandis que JFK était la face souriante au sourire Colgate du Complexe militaro-industriel qui parlait de la nécessité pour les USA de se transformer de république industrielle en empire militaro-industriel comme seule chance de battre l’URSS venant de faire voler le Spoutnik. Il ne trouva rien de mieux que de partir la course à la Lune devant être gagnée avant 1970 en avouant en aparté que c’était impossible pour des non-robots.