Juste une petite réflexion : les personnes souffrant d’Alzheimer sont un poids réel pour leur entourage, qui s’en débarrasse sur des institutions, dont les employés non religieux n’ont aucune raison de se dévouer ; et ce d’autant plus qu’ils sont souvent d’origine 100% étrangère et non chrétienne.
Dans ces conditions, la vie de ces déments ou dégénérés (alzheimer est une démence et une dégénérescence) est un calvaire. Est-ce une vie que la leur ? Couchés, atteints d’escarres, malmenés ou ignorés, aux mains de personnes qui parfois les haïssent, comme elles haïssent leur boulot, vu comme une servitude.
De plus, en mobilisant des ressources importantes, ces personnes empêchent la transmission des biens de famille, dilapidant par des soins très coûteux le trésor commun, qui permettrait en partie à une génération plus jeune de s’installer, fructifier, produire, vivre en bref, et pour de bon.
L’Etat n’a pas à se mêler de pondre des lois pour supprimer les gens innocents, mais peut autoriser dans certains cas une personne à terminer de son propre chef un état végétatif ou presque, ou d’intense souffrance physique. Si la personne n’a pas toute sa tête, que faire ?
Rien.
Cependant une certaine hiérarchie du corps médical a plus d’un tour dans son sac, nous l’avons constaté. Un être sans défense peut redouter bien des choses et la loi n’y peut rien.