L’économie de guerre : du rêve à la réalité
9 mars 2024 11:38, par frantz
On ne s’amuse guère dans cette caserne. S’ils pouvaient perdre l’habitude de nous faire les poches en s’imaginant qu’il suffit d’intituler leur dernier racket en lui donnant un nouveau nom, ça ne serait pas plus mal. Le colon est un dingo, et les invertis qui lui servent d’officiers ne valent pas mieux, qui s’imaginent que se faire sodomiser est un métier en soi. La dernière balançoire en date consiste à se ruer au massacre de masse sur les ailes de l’enthousiasme, sous prétexte d’exporter la liberté. Bientôt de nouvelles zélections truquées (évidemment) pour cautionner la torture psychologique et socio-économique, le marasme chronique et le sadisme. Bon courage...