J’ai quelques écrivains fétiches, dans la France littéraire du XXe siècle : Queneau, Valéry Larbaud, Giraudoux, Perec ; et Marcel Aymé n’est pas le dernier de cette clique, pas si disparate que ça.
Une de mes plus belles lectures de l’an passé a été la découverte, par hasard chez un libraire d’occasion, d’une de ses magnifiques histoires : "La vouivre".
Écrivain très profond mais qui se laisse très facilement aborder, par son sens du conte, du dialogue, de l’histoire souvent fantastique (dans tous les sens du terme), et de sa tendresse lucide envers ses contemporains.
Par cette petite vidéo, je découvre son visage et des attitudes rebelles qui m’enchantent littéralement sans que je les aie jamais connues : merci pour cette incise inattendue dans votre fil - et le partage de cette très belle interview.
Ce sera ma dragée du jour. Merci encore !