Je croyais que le shéma électoral Français pour les élections présidentielles (évictions serait plus juste) était, depuis Sarkosy, "on vote pour le moins pire" ? C’est à dire le candidat imposé par le Grand Ordonnateur des Croyants. Les petites querelles de paroisses que je lis ici, m’indiquent à quel point, le système confiscatoire des votes (et ses soutients) peut encore perdurer.
Hors pour ceux qui n’auraient pas compris, Asselineau ne peut pas monter sur le podium car il n’est pas un "Pire". Et ceux qui l’ont écouté attentivement depuis belle lurette le savent bien, car comme Alain Soral, ce qu’il dit sonne juste, sans pour autant être toléré. Voyez les élections scénarisées comme un jeux télévisé. Le candidat ayant l’assentiment du plus grand nombre doit créer la déception pour que le jeu puisse continuer. L’exemple des Miss Transe en est la plus moche représentation. La beauté du candidat est subjective (conchita saucisse barbue). On nous présente alors un faux choix pour éviter le raz-de-marée. Asselineau est trop "Electron Libre et idéal pour le poste" pour pouvoir espèrer le briguer un jour, néanmoins je continuerai à boire la totalité de ses dires objectifs. Ils ne peuvent pas faire élire un "sans faute". Désolé pour les autres. Même si François Asselineau se teingnait les cheveux en bleu ou vert ou rose, il ne pourdrait jamais tromper les machines algorytmées et j’en suis très "triste, voilà triste" comme disait Coluche.